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Le surf foil te fait certainement rêver et c’est vrai que ça peut paraître un peu fou, mais c’est bel et bien une réalité. Cela procure des sensations qui sont juste dingues !
Le surf foil a vu le jour dans les années 2000, avec de grands noms comme Laird Hamilton, Dave Kalama ou encore Paolo Rista. Au départ, l’utilisation du foil consistait simplement à voler en étant tracté. En 2016, Kai Lenny a fait décoller le marché, propulsant la discipline vers de nouveaux horizons et performances. Les surfeurs hawaïens, australiens, californiens et brésiliens se sont rapidement emparés de cette nouvelle manière de surfer. Aujourd’hui, le produit est plus accessible avec l’apparition de modèles grand public. Le surf foil s’est alors répandu en Europe et surtout en France.
L’avantage du surf foil est vraiment de pouvoir partir dans une houle toute petite. Il suffit d’un mouvement de push pour pouvoir te lever et prendre de la hauteur. Il y a des sessions où habituellement tu n’aurais pas été à l’eau parce que la houle ou le vent n’est pas présent. En surf foil tu vas pouvoir y aller. Tu vas donc sauver un grand nombre de sessions. On connaît tous cela en tant que surfeur, ce plan d’eau clapoteux qui ruine une session… En surf foil, tu peux quand même rider et prendre du plaisir.
Cela peut paraître un peu philosophique, mais c’est vraiment la réalité. Une partie de ton foil est sous l’eau et tu vas ressentir l’ondulation qu’il y a sous l’eau grâce à ce dernier. Chose qu’on ne ressent pas directement quand on est en surf. C’est vraiment un sentiment, une sensation qui est quasiment indescriptible, mais incroyable et qui permet de ressentir l’énergie qui se passe sous l’ondulation.
Aujourd’hui, quand on va faire une session de surf, c’est souvent deux heures de session pour 2-3 minutes de ride. L’avantage du surf foil c’est que tu vas pouvoir prendre une première vague, remonter la barre avec l’effet de dynamisme du pumping, aller chercher un second ride et continuer ainsi de suite et faire un cercle. Le seul facteur limitant va être ton cardio. Tu vas donc enchaîner les vagues et progresser rapidement.
Enfin un des derniers avantages de la pratique du surf foil, c’est que c’est complémentaire. A l’image du skate et du surf, et bien le surf foil va être complémentaire à plein d’autres sports de glisse comme le kite foil ou le wing foil. Pourquoi ? Si on prend le comparatif en wing foil, on va faire du free fly. Le surf foil va vous apprendre à bien te positionner sur la planche, jouer sur la position des pieds et du coup aussi jouer sur l’effet de pumping.
Pour faire fonctionner un hydrofoil, tu dois d’abord prendre de la vitesse sur l’eau en utilisant une force propulsive (wing en wingfoil, pagaie en sup foil, ondulation en downwind et surf foil). Une fois que tu as atteint une certaine vitesse, tu pourras incliner ta planche en appuyant sur ton pied arrière de sorte à créer un angle d’incidence sur l’aile avant qui va commencer à créer de la portance. Ce phénomène va te surélever au dessus de l’eau. C’est le fonctionnement d’un foil.
Une fois que tu es en l’air, l’équilibre va se faire sur tes mouvements vers l’avant ou l’arrière. Si tu montes trop, il suffit de mettre du poids vers l’avant pour faire redescendre ton foil. Si tu n’as pas assez de hauteur, on va l’inverse, on va mettre du poids sur la jambe arrière.
Il faut un peu de pratique au début pour maintenir un vol stable mais une fois que tu l’as compris, c’est une sensation incroyable assurée.
Pour le take-off en surf foil, nous avons tendance à utiliser les réflexes du surf, c’est à dire remettre la planche de travers. Malheureusement cela ne fonctionne pas en surf foil. Ce que nous te conseillons, c’est de te concentrer sur le take-off avec une prise de vague face à la plage et perpendiculaire à l’ondulation. Tu peux d’ailleurs prendre au début simplement les mousses. Le foil va alors chercher à décoller comme une aile d’avion. Lorsque tu vas faire ton take-off, pour te redresser il va falloir se mettre debout avec le pied avant, et peut-être même, exagérer de le mettre plus à l’avant que d’habitude. En effet, tu es en plein dans la force propulsive. Cela va donc te créer un maximum de portance.
Ne pas avoir le stance du surfeur habituel est normal. Pour les débuts, avoir le pied avant beaucoup plus écarté que la normale est courant et te permettra de bien contrôler ton foil.
Le foil se décompose en trois parties : l’aile avant, le stabilisateur et le TBAR incluant fuselage et mat.
Pour débuter en surf foil, il est conseillé de choisir un foil qui va aider à maximiser le contrôle. Il est préférable de commencer avec un foil qui sera autour d’une surface de 1000 cm2. Les stabilisateurs peuvent également être de taille moyenne pour commencer et réduire au fur et à mesure de son niveau de pratique. La gamme Silk chez AFS est idéale pour ça.
Nous conseillons aussi de commencer le surf foil avec ailes avant à profil épais qui vont mieux tolérer les erreurs d’appuis et apporter plus de portance. Avec la pratique, tu pourras passer sur des types d’ailes à profil fin et aspect ratio élevé pour plus d’accélération, plus de glide, plus de dynamisme.
La taille du mât va principalement dépendre de la profondeur du plan d’eau. Pour surfer un shore break, plutôt mât de petite taille. A l’inverse, pour surfer une houle au large, un mât de grande taille peut très bien convenir.
Le fuselage va quant à lui apporter de la maniabilité ou de la stabilité. Plus le fuselage est court, plus tu rapproches tes plans porteurs (aile avant et stabilisateur) et donc tu gagnes en maniabilité. On va chercher dans ce cas là une pratique nerveuse et dynamique. A l’inverse, plus un fuselage est long, plus on éloigne les plans porteurs et plus on va gagner en stabilité sur des vitesses à hauts régimes (idéal pour surfer du gros où on cherche principalement à maîtriser sa trajectoire droite que carver).
Enfin, le stabilisateur va te permettre de peaufiner les réglages de l’aile avant. Un stabilisateur avec une petite envergure va apporter du dynamisme à ta pratique. Un stabilisateur allongé va t’apporter de la stabilité et de l’appui.
Le litrage et la longueur de la planche ont une grosse influence sur l’accessibilité pour entrer dans une vague en surfoil. Il est important de garder un peu de longueur et un peu de volume pour les débuts. Nous conseillons une planche autour de 40 litres pour bien commencer. Les planches avec moins de 5 pieds sont également un bon choix pour une meilleure capacité à pumper comme il faut.
Pour les non-connaisseurs, LOST IN THE SWELL est un groupe d’amis pratiquants de surf. Ils ont voulu se lancer dans la pratique du surf foil. On a suivi leur progression et collecté leurs retours !
C’est vrai qu’au début, c’est pas facile en tant que surfeur en tout cas, de reconnaître des bonnes vagues pour du foil. En gros, c’est tout l’opposé du surf, plus la vague est petite, plus elle est molle, mieux c’est en tout cas pour commencer.
On a commencé derrière un bateau, c’est quand même plus simple d’avoir les premières sensations en bateau, comme en wake avec palonnier. Il n’y a pas la vague à gérer et au moins on sent un peu le décollage et l’atterrissage est un peu moins violent.
Pour le choix du spot, c’est bien évidemment le plus loin possible des surfeurs, avec des vagues molles. L’entrée en vague se fait face à la plage et pas de travers. En fait il faut ré-apprendre quelques notions. Dans l’idée il vaut mieux décoller et ensuite tourner, plutôt que de vouloir prendre la vague de travers, comme en surf, et tout de suite se relever.
Il ne faut pas faire l’erreur d’aller surfer des petites vagues qui cassent au bord et où il n’y a pas d’eau après, l’idée c’est de trouver une petite vague qui casse et après ou il y a une baïne ou un trou d’eau et vraiment être lancé avec la mousse, se lever. Une fois qu’on est levé là c’est parti.
Bien évidemment commencer ses premières sessions en vagues quand c’est petit et quand la vague est plate, il ne faut pas commencer quand la vague est creuse et fermente. L’idéal est de trouver un spot qui déroule longtemps pour vraiment avoir le temps de repositionner ses pieds, de bien comprendre les réactions du foil.
Pour le take-off en surf foil, nous avons tendance à utiliser les réflexes de la prise de vague en surf, c’est à dire remettre la planche de travers. Malheureusement cela ne fonctionne pas comme ça en foil surf.
Ce que nous te conseillons, c’est de te concentrer sur le take-off avec une prise de vague face à la plage et perpendiculaire à la vague. Le foil va alors chercher à décoller comme une aile d’avion. L’idée c’est de vraiment plaquer la planche à la paroi de la vague.
Lorsque tu vas faire ton take-off, pour te redresser il va falloir se mettre debout avec le pied avant, peut-être même, exagérer de le mettre plus à l’avant que d’habitude. Ne pas avoir le stance du surfeur habituel et au contraire, peut-être, pour les débuts, avoir le pied avant beaucoup plus écarté que la normale pour vraiment plaquer le foil, le faire décoller, le faire replaquer et jouer comme ça.
Pour l’instant, ne pas chercher à tourner et à déferler la vague à gauche ou à droite mais plutôt à s’entraîner en allant face à la plage. Quand tu pars c’est comme en surf, il faut se laisser porter avec la mousse, se lever, se redresser et ensuite s’alléger. On ne va pas se mettre debout alors que le foil est déjà levé sinon ça devient très technique.
Et pour aller un peu plus loin, une fois que l’on commence à maîtriser un petit peu l’entrée en vagues,et les premiers vols, on pourra alors tourner pour aller rattraper la paroi de la vague.
Le foil quand il décide de faire ce qu’il veut, il faut pas le contrer. C’est à dire que par exemple, si tu veux aller à gauche et que le foil a pris la trajectoire d’aller sur la droite, le réflexe du surfeur c’est justement d’appuyer, de contrecarrer pour ramener la planche sous soi ou ramener la planche dans une meilleure trajectoire. En revanche en foil si on fait ça, en appuyant, le foil va continuer à accélérer dans le sens où on ne veut pas aller et c’est souvent là qu’arrive la chute. C’est vraiment la consigne de sécurité la plus importante. Donc dès que le foil commence à vouloir aller à l’opposé de ce que nous on cherche à faire, il vaut mieux se jeter à l’opposé du foil.
Une fois qu’on est bien parti, qu’on a les orteils bien placés, les bras, le regard, on peut commencer à essayer de tourner. C’est comme en surf mais on n’a pas droit à l’erreur, il faut vraiment s’appliquer. Comme d’habitude, ça part de la tête, on envoie la tête vers là où on veut aller, les bras, on ouvre le haut du corps et le reste va suivre tout en douceur. Il ne faut pas trop accentuer le geste sinon on a un risque de tomber sur le foil.
Le pumping foil consiste à voler sur une planche munie d’un hydrofoil uniquement à la force des jambes. Le pumping foil se pratique sur plan d’eau plat (en partant d’un ponton ou se faisant lancer par un cable) ou en surf-foil (comme moyen de transition entre 2 vagues). Dans tous les cas, c’est un exercice technique très exigeant au niveau cardio-vasculaire.
Avec le pumping, il faut faire en sorte que les écoulements, que la glisse soit optimisée. Il faut donc bien réaliser le mouvement quitte à aller moins vite, plutôt que chercher la vitesse en réalisant un mauvais pumping. (article spécifique)
Il faut essaye d’être léger, de laisser monter le foil et de le faire redescendre, il accélèrera tout seul.Tu dois donc donner une impulsion sur la jambe arrière pour faire cabrer la planche et remettre du poids sur la jambe avant pour apporter de la portance au foil et pour décoller ou rester en vol. Ce n’est pas comme en surf où tu montes, tu allèges et tu descends dans la vague en forçant. Au contraire c’est : tu pompes, tu glisses, tu t’allèges, tu glisses, etc.
AFS est né au sein de l’entité AHD en 2009, avec la commercialisation du premier combo windsurf foil (planche plus foil de série). Le modèle historique est l’AFS-1, un foil dédié à une pratique freeride vent léger, avec de petites surfaces de voile (5,5m² dans 10nds de vent). Par la suite, son domaine d’utilisation s’est étendu au SUP foil, avec la gamme de planches Sealion, ce qui en faisait le premier foil compatible Stand Up Paddle du marché (2011). En 2017 apparaît l’AFS-2, un foil nouvelle génération, développé et fabriqué en France. Avec celui-ci, AFS prend son envol et devient une entité à part entière dédiée autour du foil. La vocation d’AFS est de proposer une expérience du foiling plus performante,tout en gardant une accessibilité et une stabilité de premier ordre pour apporter à tous les riders une conduite sûre grâce à une construction full carbon. Grâce à notre savoir-faire et notre exigence, nous sommes le premier fabriquant de foil en France. Chez AFS nos clients se sentent écoutés et accompagnés dans leur choix.
Tous les foils AFS sont fabriqués dans notre entreprise à Pencran en France. Toutes les planches AFS Advanced sont aussi fabriquées ici. Certaines de nos planches sont faites en Tunisie dans l’entreprise Terminatech, tout comme nos housses. Enfin, nous n’avons malheuresement pas encore réussi à trouver ce pari, mais nos wings sont aujourd’hui fabriquées en Chine bien que toute la R&D se fasse directement en interne.
Oui, tout à fait. Il suffit de faire une demande sur : https://afs-foiling.fr/reprise-materiel/
Vous pouvez vous rapprocher de notre réseau revendeurs ou alors via nos ambassadeurs. Nous organisons aussi des AFS Days permettant de tester tout le matériel AFS.
Vous pouvez nous contacter directement via le chat du site web où une équipe de pratiquants et passionnants est là pour vous répondre. Il s’agit de l’icône bleu en bas de votre écran.
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