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Expertise en wing foil : matériel de qualité, conseils, production française carbone.
Le wing foil est la nouvelle pratique à succès apparue sur nos spots. Cet hybride entre le surf, le kitesurf, le sup et le wind offre le meilleur de ces sports nautiques sans les inconvénients.
Le wing foil permet de partir naviguer dans toutes les conditions et son aspect pratique le rend accessible à tous ! Comment débuter cette nouvelle pratique pour voler dans les airs ? Comment choisir votre wing, votre planche de foil ou votre premier spot ? Découvrez nos astuces, conseils d’utilisation et sélection de matériel pour rendre le wing encore plus facile.
Les ailes de wing foil sont plus petites qu’en kitesurf ou qu’en wind : c’est une des raisons du succès de ce sport nautique. Dans la plage comprise entre 10 et 20 noeuds, pour un gabarit de 70-85kg, on conseil 5m2. Pour un gabarit inférieur à 70kg, 4m2 et enfin pour un gabarit supérieur à 85kg, 6m2. En wingfoil pour une utilisation en vent léger, mieux vaut un grand foil qu’une grande voile, rarement pratique à manier.
Plus une foilboard est volumineuse, mieux elle flotte. Pour un premier choix, une board qui fait +25/30 litres par rapport à votre poids est idéale. Cela apporte de la stabilité et un départ au planning rapide. Un débutant de 70 kg va naviguer avec une board de 95 litres. Notez que ce volume est compatible avec une pratique supfoil, donc polyvalent, mais qu’un flotteur trop petit ne fera que vous sanctionner et ne sera pas non plus utilisable en surf foil. Soyez confortable pour naviguer, c’est ce qui vous permettra d’apprendre une nouvelle discipline. C’est encore plus vrai pour la wing que pour le kitesurf et le windsurf !
A noter qu’un achat en pack wingfoil débutant vous permet souvent de profiter de remises. Nous avons aussi quelques foils et planches en occasion qui pourraient vous intéresser.
Le fuselage long va apporter de la stabilité et un peu plus de puissance. Quelqu’un qui débute, moins sûr de ses appuis, qui a besoin de partir tôt, avec un flotteur plutôt long supérieur à 6 pieds et assez lourd aura intérêt à utiliser un fuselage long. C’est aussi le fuselage idéal pour ceux qui veulent aller vite sur plan d’eau plat, avec de petites ailettes (comme on peut voir en wind et kitefoil, avec des fuselages de plus de 90 cm et des ailettes de moins de 500cm2 par exemple)
Le fuselage court va rapprocher l’aile avant du stab et apporte de la maniabilité. Un rider plus expérimenté dans la pratique et qui a des flotteurs légers de surffoil, ou un flotteur de supfoil pourra passer sur un fuselage court pour gagner en maniabilité et en fréquence de pumping. Pour ceux qui aiment les sensations de surf, c’est le fuselage conseillé en vague.
Souvent situé entre le boudin central et le bord d’attaque, le one pump permet de gagner du temps au moment de gonfler votre wing pour aller à l’eau en envoyant de l’air dans les deux boudins à la fois.
Une fois votre wing bien gonflée, n’hésitez pas à fermer le clapet de one pump afin de conserver un boudin gonflé si jamais vous percez l’autre en navigation.
Lorsque vous allez dégonfler l’aile de wing, vous allez pouvoir bloquer l’air. Le système de clapet va vous permettre de couper la circulation entre la latte centrale et le board attaque (comme après le gonflage). Quand vous allez ranger votre matériel vous pourrez d’abord dégonfler le board d’attaque, enrouler les oreilles l’une après l’autre et conserver le boudin central gonflé pour optimiser le rangement
Il existe deux grands types de matériaux de construction d’hydrofoils : l’aluminium et le carbone et on va vous aider à bien les choisir en fonction de votre pratique.
Nos mâts sont fabriqués en France, avec du carbone sourcé en Europe. A noter aussi que nous proposons des produits neufs ou d’occasion.
Nous avons fait un article spécifique pour choisir au mieux le mat de wingfoil qui vous convient le mieux.
La pratique strapless évoque la liberté absolue. Ppas de foot straps, le pont est dégagé et il est donc plus simple de se déplacer et d’effectuer des transitions.
Nous conseillons souvent aux débutants de commencer strapless afin de trouver sa bonne position : rappelez vous que vous n’avez pas débuter le windsurf avec des footstraps dès le premier jour…
L’aspect ratio est un coefficient. Il s’agit de la longueur au carré de cette aile divisée par sa surface. On rentre en détail sur ce qu’est l’aspect ratio et l’influence que cela a dans votre choix de matériel wing foil.
Chez AFS, nous faisons du full carbone. Ca veut dire absence totale de corrosion ou d’oxydation comme on peut en trouver sur les produits hybrides carbone/aluminium. Il n’y a pas vraiment besoin de rincer son matériel ni d’utiliser du tefgel.
On peut très bien laisser son matériel entièrement monté. La seule chose à vérifier est le serrage des vis, en particulier pour les pièces neuves. Au bout de 2-3 heures de navigation, les pièces se font aux autres et un jeu peut apparaître. Toujours vérifier lors de vos premières nav’ !
On peut le ranger complètement monté sur sa planche. Nos nouvelles housses AFS permettant de ranger foil et board assemblés. Nous avons ensuite des housses pour les éléments individuels. Sinon, il est possible de tout démonter à chaque fois pour gagner de la place.
La ceinture permet au leash de moins traîner. Elle offre la possibilité de mettre un crochet de harnais pour avoir plus de liberté dans sa navigation. Un harnais va aussi apporter une assistance sur des longs bords. Il stabilise la wing et permet d’obtenir de meilleures performances au près.
Plus la platine va être avancée, et plus vous aurez de la puissance. Un grand gabarit va compenser en avançant dans le boitier.
Dans les bas régimes, sous toilé, vagues molles, light wind, on peut aussi avancer la platine pour obtenir plus de portance.
Si vous avez tendance à vous faire éjecter ou que vous devez appuyer très fort sur la jambe avant (gabarit plus léger, vitesse élevée…) il faut reculer le foil dans les box.
Il est également possible de jouer sur le comportement de son foil. Pour plus de puissance, on utilise une cale pour kicker son stab tout en avançant dans la position du mât dans le boitier. Cela peut apporter du pumping ou de l’énergie dans les jumps ainsi que de la maniabilité.
Le jeu des réglages est sans fin ou presque. Il s’agit de trouver le bon qui convient à chacun et selon les conditions du jour. Il n’existe pas de réglage unique !
Veillez à bien ouvrir le sac de wing afin de ne pas tirer sur l’aile et risquer de la coincer dans la fermeture.
2. Dérouler la wing
Posez votre aile sur le sol et déroulez la : d’abord le boudin central, puis une oreille après l’autre. Placez chaque partie bien à plat.
3. Coincer le leash de la wing sous la pompe
Une fois l’aile déroulée, un coup de vent suffit pour la faire s’envoler au risque de l’abimer. Pour éviter ceci, prenez le leash de l’aile et coincez le sous la pompe avant de gonfler.
4. Raccorder la pompe à la wing
Prenez l’embout de votre pompe et insérez le dans la valve prévue à cet effet sur le bladder (boudin de bord d’attaque). Pour plus de sécurité, si votre pompe à un leash, vous pouvez l’accrocher à la poignée de l’aile.
5. Gonfler la wing
Pour gonfler efficacement la wing, donnez quelques coups de pompe pour donner sa forme à l’aile (ne pas gonfler à fond tout de suite). Pour bien placer les fourreaux, vous pouvez tapoter légèrement les boudins, cela leur permettra de se gonfler correctement. Ensuite, terminer le gonflage en montant à 6-7 PSI.
6. Dissocier la pompe de la wing
Après avoir bien gonflé l’aile, vous pouvez déconnecter la pompe et fermer la valve.
Si votre planche de wing possède une poignée ; utilisez là ! Foil vers l’extérieur (idéalement et selon l’emplacement de la poignée), attrapez la planche d’un côté et votre wing de l’autre. Laissez la wing voler sous le vent en la maintenant fermement pour éviter qu’elle ne vienne heurter le foil et risquer de se déchirer !
Un débutant va privilégier des conditions avec du vent de mer. En dérivant, le pratiquant reviendra ainsi naturellement vers la plage. On vous conseille – si possible, une baie protégée. On en trouve beaucoup en Corse, on en fait le tour ici si vous voulez débuter au chaud pendant vos vacances !
Privilégier les petits bords pour débuter. Cela permet de régler son matériel et d’anticiper sa dérive. Si l’on parvient à tenir sur un petit bord, on part plus loin et on devrait être capable de remonter au près.
La force de l’air s’observe avec la formation de moutons d’écume. Lorsque l’on commence à voir apparaître ces moutons, c’est qu’il y a à peu près 10 nœuds (18 km/h). Idéalement, il faut commencer avec 12 – 14 nœuds minimum, ce qui permet de s’équilibrer plus facilement.
Ne tirez pas et ne cherchez pas la douleur dans les étirements. Si vous sentez une douleur, arrêtez les exercices et consultez un médecin ou Alban (kinésithérapeute) !
Pensez à bien respirer, lentement, et expirez en relâchant.
Hydratez-vous ! L’hydratation se fait tout au long de la journée. Pensez à amener de quoi vous hydrater pour avant et après la session.
Idéalement, après votre session, pour sécher votre voile nous vous conseillons de la laisser gonflée. Si vous ne pouvez pas faire ainsi, évitez de la suspendre par sa poignée. En effet, lorsque l’aile est dégonflée si vous la laissez suspendue par la poignée le boudin central risque de vriller.
Si vous regonflez votre voile avec un maximum de pression en une seule fois, il peut se créer une pliure ou une hernie qui risque d’éclater. Pour prévenir ce phénomène, quand vous regonflez, avant de mettre un maximum de pression, prenez le soin de vérifier que les boudins sont bien en place.
Quand vous gonflez, commencez à envoyer un petit peu de pression dans les boudins pour donner sa forme à l’aile. Ensuite, avant de mettre plus de pression tapotez légèrement les boudins pour qu’ils se remettent bien en place dans leur fourreau. Et à ce moment-là seulement, vous pouvez mettre la pression adéquate.
Chez AFS Foils, nous avons mentionné 6 PSI sur le boudin, en réalité nous avons pris un peu de marge et le gonflage idéal est à 7 PSI sur nos ailes.
Dernière étape, le rangement de la wing dans son sac. Dévissez la valve et laissez l’air sortir. Roulez une oreille, puis l’autre, jusqu’au boudin central.
Avec plus de 13 années de pratique régulière du Kitesurf, dont 8 années en Kitefoil, Damien Sorlin, champion du monde de parachutisme en 2006, 2008 et 2010, s’impose désormais comme un réparateur phare pour tout ce qui touche au tissu spi. Son expertise et sa maitrise dans le domaine de la réparation et la maintenance du matériel de parachutisme l’ont conduit tout naturellement à appliquer ses connaissances de la maintenance aux ailes de kitesurf, wing foil,… Atelier situé dans les Hautes Alpes mais envoi possible.
Pour s’éloigner du bord, nous vous recommandons d’attacher vos leashs de planche et de wing avant de partir. Ensuite, retournez la planche pour positionner le foil vers le ciel. Servez-vous en pour avancer et vous éloigner de la rive tout en maintenant votre wing a l’écart pour éviter qu’elle ne se prenne dans l’aile avant ou dans le stabilisateur.
Une fois que la mer vous arrive au ventre, vous pouvez retourner la planche et monter dessus à genoux. La facilité que vous aurez à vous mettre débout dépendra de votre planche.
Plus elle est volumineuse, plus elle est stable. Sur une planche supérieure à 100 litres vous pourrez vous mettre debout directement puis avancer tranquillement, comme un stand up paddle.
Une fois que vous êtes debout, il faut maitriser la wing. Pour maintenir l’aile surélevée, pensez à garder votre main avant au dessus de l’arrière. L’aile est courbe et ne demande qu’à pivoter sur sa flèche, si vous baissez votre bras, elle va tourner vers le bas et vous déséquilibrer.
Si vous sentez que vous prenez trop de vitesse et/ou que vous êtes déséquilibré, lâchez l’arrière en gardant la main avant haute.
Pour vous familiariser avec cette nouvelle discipline, il est tout à fait possible d’utiliser votre board, mais un support différent comme un flotteur de windsurf ou un stand up paddle gonflable permettent d’appréhender le maniement de la voile sans se soucier de l’hydrofoil. L’avantage du paddle gonflable est qu’il ne craint pas les chocs, même s’il dérive un peu plus. L’idéal est un sup rigide qui apporte la glisse et la facilité à la fois. N’hésitez pas à regarder toutes nos vidéos tuto à la fin de ce post, le mimétisme est un excellent moyen de progresser !
Pour ceux qui habitent à la montage, votre voile s’emporte aussi en ski ou en snow pour retrouver des sensations dans la neige, ou pour bien préparer la saison estivale !
Si vous êtes pratiquant d’autres sports de glisse(wing foil ou kitesurf), la progression devrait être aussi plus rapide.
Pour déclencher le décollage, le placement des pieds est important. Si vous placez vos pieds sur l’avant de votre planche vous n’allez pas planer car le poids est mal réparti. Cependant, cette technique peut être intéressante lorsque l’on souhaite rentrer au bord ou que l’on est en sur puissance dans un vent fort.
Pour décoller, vous devrez donc reculer votre pied arrière et chercher la sensation de cambrage. A ce moment-là, vous devrez basculer votre poids à l’avant pour que la planche se place horizontalement. Si vous débutez, cherchez à faire des « touch and go » : décollez et reposez la planche plusieurs fois sur quelques mètres. Cette technique permet d’apprendre à réguler le vol.
Lors de vos navigations, vous pouvez effectuer votre changement de pieds avant ou après la manœuvre. Chacun à sa préférence et cela peut dépendre de son aisance en goofy ou en regular. Pour switcher vos pieds avant ou après la manœuvre, vous devez déjà remonter l’aile afin d’obtenir une bonne visibilité et vérifier que personne ne se trouve derrière. Sécurité avant tout !
Ensuite, vous devez anticiper le fait qu’au moment de changer de pied, la planche va avoir tendance à réatterrir sur l’eau. Vous allez donc chercher à donner un petit coup de pumping juste avant de switcher pour faire redécoller la planche et être plus haut sur l’eau. L’inversion se fait soit un pied après l’autre ou si vous être à l’aise, en effectuant un saut. A ce moment-là, le pied arrière va venir prendre la place du pied avant. Au niveau de la trajectoire de vol, la planche va vouloir réatterrir à la fin du changement de pied. Il va donc falloir relancer rapidement pour reprendre un vol plus stable pour clore sa manœuvre. Utilisez votre regard pour essayer de chercher à bloquer votre position. Visez un au loin et évitez de regarder vos pieds !
La technique va différer selon le matériel utilisé. En effet, si vous utilisez un gros foil avec un long fuselage, le pumping va être plus axé sur l’inertie avec une fréquence moindre. Par contre, si vous utilisez des petites ailes et un fuselage court ou une planche typée surf, il faudra apporter une certaine cadence, de la fréquence.
Une fois que vous avez appréhendé la sensation, vous pouvez effectuer des “touch and go” pour vous entraîner. C’est-à-dire que vous allez décoller, reposer la planche et la faire re-décoller, etc.
Avec le pumping, il faut faire en sorte que les écoulements, que la glisse soit optimisée. Il faut donc bien réaliser le mouvement quitte à aller moins vite, plutôt que chercher la vitesse en réalisant un mauvais pumping.
Essayez d’être léger, de laisser monter le foil et de le faire redescendre, il accélèrera tout seul. Il faut s’alléger et laisser accélérer. Vous devez donc donner une impulsion sur la jambe arrière pour faire cabrer la planche et remettre du poids sur la jambe avant pour apporter de la portance au foil et pour décoller ou rester en vol.
Vous l’avez compris, la technique dépend du matériel et du cardio. Il faut pratiquer pour y arriver, mais pour vous maintenir en forme et performer en wing foil, faites du sport !
1 – Sécuriser la manœuvre en levant son aile ou en regardant à travers la fenêtre pour voir s’il y a de la place pour jiber.
2 – Réduire sa vitesse pour ne pas arriver trop rapidement dans le jibe
3 – Entamer une prise de carre vers l’intérieur, aile haute
4 – Au moment où l’on part sous le vent, on relâche l’aile
5 – Quand on arrive dans le vent, Il faut alors reprendre la wing de l’autre côté. On inverse les mains sur la poignée en continuant sa prise de carre, pour reborder et repartir. Ce qui est important c’est de toujours se pencher dans son virage de façon à avoir une prise de carre constante.
Tout comme le tack, le changement de pied dépend du feeling. On peut le faire avant la manœuvre, ou après
Pour réaliser un virement de bord, l’important va être de maintenir une bonne portance au niveau foil en cherchant à remonter au vent. Il faut donc placer son aile haute et engager une courbe dos au vent.
Afin de conserver de la portance, il peut être utile d’ajouter un peu de pumping en appuyant sur le pied arrière au moment d’amorcer le tack.
Le mouvement de l’aile est primordial. Il s’agit d’envoyer son aile par-dessus sa tête au bon moment, complètement de l’autre côté. Une fois face au vent, il faut conserver de la courbe.
Bien sûr, il ne faut pas oublier de se concentrer sur ses appuis de façon à continuer à fermer son virage, pour aller récupérer son aile de l’autre côté et relancer. L’important est de conserver votre prise de carre (courbe) pour ne pas risquer de repartir dans l’autre sens. Pour éviter ceci, il faut se pencher légèrement dans son virage.
AFS est né au sein de l’entité AHD en 2009, avec la commercialisation du premier combo windsurf foil (planche plus foil de série). Le modèle historique est l’AFS-1, un foil dédié à une pratique freeride vent léger, avec de petites surfaces de voile (5,5m² dans 10nds de vent). Par la suite, son domaine d’utilisation s’est étendu au SUP foil, avec la gamme de planches Sealion, ce qui en faisait le premier foil compatible Stand Up Paddle du marché (2011). En 2017 apparaît l’AFS-2, un foil nouvelle génération, développé et fabriqué en France. Avec celui-ci, AFS prend son envol et devient une entité à part entière dédiée autour du foil. La vocation d’AFS est de proposer une expérience du foiling plus performante,tout en gardant une accessibilité et une stabilité de premier ordre pour apporter à tous les riders une conduite sûre grâce à une construction full carbon. Grâce à notre savoir-faire et notre exigence, nous sommes le premier fabriquant de foil en France. Chez AFS nos clients se sentent écoutés et accompagnés dans leur choix.
Tous les foils AFS sont fabriqués dans notre entreprise à Pencran en France. Toutes les planches AFS Advanced sont aussi fabriquées ici. Certaines de nos planches sont faites en Tunisie dans l’entreprise Terminatech, tout comme nos housses. Enfin, nous n’avons malheuresement pas encore réussi à trouver ce pari, mais nos wings sont aujourd’hui fabriquées en Chine bien que toute la R&D se fasse directement en interne.
Oui, tout à fait. Il suffit de faire une demande sur : https://afs-foiling.fr/reprise-materiel/
Vous pouvez vous rapprocher de notre réseau revendeurs ou alors via nos ambassadeurs. Nous organisons aussi des AFS Days permettant de tester tout le matériel AFS.
Vous pouvez nous contacter directement via le chat du site web où une équipe de pratiquants et passionnants est là pour vous répondre. Il s’agit de l’icône bleu en bas de votre écran.
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